.: Deep~Simple :.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Yuna's Fanfiction =)

5 participants

Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Yuna's Fanfiction =)

Message  Yuna Chan Lun 25 Fév - 1:19

Voilà le chapitre premier... Avant tout je tiens à faire remarqué que ces premieres lignes ne sont pas très détailé car elle resume toute la vie de mon personnage de huit à 18ans ( bon le seul pavé détaillé c'est celui sur Soso mais j'y peux rien cette partit me tiens à coeur ^^ ) donc c'est un premier gros chapitre les prochain seront écrit au présent et seront sans doute plus cours... Il y a des similitudes avec l'histoire de Ceress et c'est bien normal elle est ma mère ! Happy lecture !


Chapitre 1 : Jeunesse
« Seule, définitivement seule… »


Combien de fois ai-je entendue ce discours ? Et entre
les lèvres de combien de bouches différentes ? Des paroles savantes, qui
n’auront pas toujours était valable… Le mieux serait de commencé par le début
de mes aventures…

Je suis né dans le palais d’Amatsu, fille d’une grande
prêtresse et d’un lord knigt à la réputation d’or… J’avais tout d’une
princesse, et surtout la réputation. A l’époque, je me souviens j’avais à peine
huit ans que je ne pouvais pas faire un pas dans la rue sans que des gens de
tout genre m’aborde des requête toujours différente, entre personnages voulant
bénéficié des pouvoirs de ma mère et ceux qui voyait une futur femme accomplit…
En définitive je fus obligé de me déplacer avec un ami de mes parents qui me
servait de garde du corps… J’avais huit, il en avait dix de plus que moi, et
son nom était Fuuji venais d’obtenir le grade de lord knigt avec la bénédiction
de mon père. Les jours passé lentement, agréable, habituel ; de deux à
quatre heure je passais mes après midi à jouer avec Fuuji sous un cerisier
célèbre placé au centre de la ville, de cinq à six j’étudiais avec ma mère, la
magnifique Ceress les paroles de dieux car déjà je m’étais destiné à devenir
priest, tout comme elle, si belle, si intelligent et si bonne que j’admirai
plus que n’importe qui au monde. Ainsi deux ans s’écoulèrent, la vie suivait
son cours mais sans le savoir mon cœur était déjà souillé ; Souvent, mon
père dans ses nuits de solitude alors que ma mère était en mission, par ici ou
là bas venait me voir « passé un peu de temps avec mon trésor » c’est
ce qu’il disait à mon gardien pour le congédié, et à chaque fois il se passé
des choses dont je ne connaissais pas la signification… Aujourd’hui, je ne
comprends pas ses gestes, un homme, possédant sûrement l’une des plus belle
femme de Midgard en quoi mon corps d’enfant, où l’absence de poitrine était
bien réelle pouvait-il le satisfaire ? Il disait « m’éduquer »
et quand Fuuji me demandé ce que j’avais fait de ces heures passées avec mon
père je répondais avec une naïveté sincère « il m’apprend la vie ».

Les années filaient à vitesse grand V, j’avais dix ans et je
dus quitter ma famille et ma ville pour faire face à ma propre destinée.
Traversant les mers et les terres de Midgard en compagnie de Fuuji qui jamais
ne faillit face aux monstres que l’on pouvait rencontré nous passions dans
plusieurs villes avant d’atteindre mon but final, Prontera. Nous passâmes en
premier lieu à Payon, ville des arches et je fus très vite terrifié par l’ampleur
de la renommée de mes parents, et donc ma propre renommée… Comment les gens me
reconnaissaient ? Rien de plus simple, mon prénom, Yuna venait d’un
tatouage, je dirais plutôt d’une malédiction apparut sur mon épaule dès ma
naissance, représentant un hibiscus de couleur rose, voilà d’où venait mon
prénom… Izlude, ce fut la même histoire, ce qui énervée particulièrement Fuuji.
Ah, je l’aimais, j’avais seulement dix
ans et lui vingt mais je l’aimais…

Prontera, qu’elle ville animée, tellement de monde… Et aucun
d’eux pour m’ignorer… Mais peut importé le nombre de gens qui me regardaient,
le plus important pour moi c’était l’église colossale qui se dressait au
nord-est de la ville… J’avais tellement hâte. Fuuji et moi nous nous rendîmes
là bas le lendemain de notre arrivé, je rencontré le chef de l’église qui me
fit passé toute une série de teste que je réussi sans mal pour avoir tout
apprit avec ma mère… De plus l’homme de dieu semblait bien, très bien connaître
ma mère alors j’aurais pus n’être pourvue d’aucun don celui-ci m’aurait tout de
même engagé. Devenue acolyte, mon nouveau chef m’expliqua que désormais je
devrais accomplir mes tâches et gagné en pouvoir en aidant le les combattant de
Midgard, il m’expliqua que durant mon voyage un camarade m’accompagnerai et que
je devrais me séparé de Fuuji car mon apprentissage était mon propre fardeau...
Cette séparation me fit très mal, lui resta à Prontera où il trouva une
habitation pour que je vienne lui rende visite le plus souvent possible, moi je
partie pour Payon avec une autre acolyte du nom de Serenity… Elle avait deux
années de plus que moi et était ma première véritable amie… Elle se fichait de
ma gloire, et n’était en rien jalouse de me voire souvent en compagnie de
personnes ventant mon mérite et chacune des génération de ma famille depuis ma
grand-mère Zaza, une championne de renommé que je n’eus jamais connut… Ma
renommée, s’étendais bien au de là de mes croyances.





Payon, glast heim, orc, nous aidions de valeureux
combattants… J’appris des sorts de soins, de la magie blanche et toutes sortes
de choses… J’étais forte pour mon jeune âge, aussi à 13 ans seulement je
passais Priest me séparant de mon amie Serenity avec regret… Souvent je
retourné voir Fuuji, une fois, juste après avoir atteint mon statu de prêtresse
j’allais passer des vacances chez lui… J’avais treize ans et mon corps avait
largement entamé sa transformation et ma beauté était comparable à celle de ma
mère… Mes cheveux d’or était long, mes yeux vairons l’un d’une couleur bleu
l’autre vert, ma peau blanche et mes trait délicat et fins… J’étais au yeux de
tout me monde une sculpture parfaite, l’œuvre d’artiste, je n’étais pourtant
qu’une gamine de treize ans. Fuuji… Il avait 23 ans, qu’importe ? Je
devenais femme et à cette époque j’avais compris ce que mon père m’avait fait…
Treize ans et j’abandonné mes lèvres et mon corps à mon première amant, il en
pouvait en être autrement, j’aimais Fuuji depuis longtemps et lui aussi…

Fuuji partit avec moi, je continuais mon voyage mais surtout
j’allais rendre visite à mes parents que je n’avais pas vue depuis si
longtemps… Du moins ma mère, ma cher mère… Et mon père… Je ne savais plus quoi
penser de lui. Arrivée chez moi on donna une fête en mon honneur, moi, nouvel
espoir de Midgard qui aux yeux de tous réaliserait des miracles à la façon de
mes parents. J’étais gentille, naïve, prête à aider n’importe qui au prix de
nombreuses blessures… Et amoureuse. Je retrouvais ma mère et mon père et j’eu
le plaisir de connaître mon petit frère Basara… Et je retrouvais mes
occupations d’enfant. Ma mère accueillie plutôt bien mon aventure avec Fuuji,
elle avait l’air de comprendre, à croire qu’elle aussi avait connut une enfance
similaire… Mon père lui, ne le pris pas avec autant de tact… Pervers, il envoya
mon amant à la mort, lui offrant une mission dans un donjon éloigné et
dangereux… Ce même donjon où la grande Zaza avait perdue la vie. Je ne compris
pas de suite, d’ailleurs je pensais que mon amour reviendrait vite, j’avais
confiance en lui, et je l’attendis, un mois, puis deux… Aucune nouvelle, aussi
mon père pris les devants très vite il me présenta à un riche partie d’Amatsu
m’ayant courtisé toute mon enfance son nom était Bozaku, j’avais quatorze an et
mon père m’avais lui-même fiancé… Ma haine explosa, Bozaku n’était pas méchant,
mais je ne l’aimais pas… Et mon père, tout était clairs comme de l’eau de
roche… Mon père… Mon père était mauvais ! Contrainte d’épouser un imbécile, il ne me restait plus qu’une
seule chose à faire, première élément de ma chut… La fuite !

Un soir, après le couvre feu je quittais donc ma ville, mon
seul bagage précieux était un ruban de satin rouge que ma mère portait tous les
jours, c’était du vole, seulement c’était la seule chose qu’y me rattacherais
pour un bout de temps… Une fois noué dans mes cheveux dort je quittais le
palais, la tâche était dur car les gardes rôdaient un peu partout dans la
ville… J’arrivais au port d’Amatsu et discrètement je me faufilais dans un
navire de commerce censé partir dans la nuit pour arriver à Payon le lendemain
soir. Le voyage fut tranquille, aucun marin ne se rendit compte de ma présence
avant notre arrivée, je ne pouvait pas être honnête avec les serviteurs de mon
père qui m’aurait ramené en deux temps trois mouvement chez moi aussi je dus
recourir à mes précieux pouvoir de Priest, d’un réflexe rapide je criais.
« Téléportation » et me retrouvais à l’autre bout de la ville…

Malgré ça je ne pouvais pas resté dans une ville aussi
grande que Payon, et encore moins Prontera… La question me tracassait « où
allé » alors je me souvenus des bonnes paroles de ma mère, plus jeune elle
m’avait cité exactement ces mots « si un jour la détresse s’empare de ton
cœur ma fille, sache qu’il y aura sûrement quelqu’un pour te soutenir dans un lointain
village, tout au nord de Midgard, Hugel… ». Hugel… Ce nom avait quelque
chose de mélodieux, de différent. Le voyage serait long, je le savais bien et
dangereux ? Surtout pour moi, simple Priest, enfant de dieu faible et sans
défenses… Mais le hasard ce jour là fit bien les choses, sur le chemin d’Hugel,
d’ailleurs je n’étais même pas sûre de courir vers le nord… Je rencontrais un
bel assassin cross du nom de Seifer, il habitait Hugel, il était bien plus âgé
que moi, il fut interloqué par mon tatouage mais ne me posa jamais de question
sur mes propres origines… Aux fils des jours, je m’étais attaché à lui, en lui
il y avait quelque chose de paternel, c’était bien la première foie que
j’employais ce mot, Balthazar mon père n’avait rien d’un parent…

Finalement c’est moi qui me mis à lui confier mes aventures,
premier confident depuis le départ de Fuuji… Seifer lui semblais distant à
chaque fois que je lui parlais de mon enfance, ma mère, mon père… C’était comme
ci ces noms lui étaient familiers, aussi un jour je me suis décidais à lui
poser quelques questions.

« Ceress, ma mère c’est elle qui m’a poussait
jusqu’Hugel, plus jeune elle m’avait appris que là bas je trouverais quelqu’un
pour m’aider…»

La voix de Seifer changea radicalement… Il semblait que mes
paroles avaient appelés des souvenirs douloureux, sa gorge semblait tremblait
bien que sa fierté cacha au mieux qu’elle pouvait ce détail.

« J’ai rencontré ta mère plus jeune, j’étais un simple
assassin et elle avait soigné une amie à moi à Prontera… Nous étions très ami.
Tu lui ressembles beaucoup, Yuna… »

Ces paroles résonnent encore dans ma tête, la coïncidence
était tellement… Etrange, « nous étions très ami » alors ce garçon,
Seifer, était la troisième épaule sur
laquelle je devais me reposer à présent...

A peine trois jours plus tard nous arrivâmes donc, Seifer et
moi à Hugel, c’était un village des plus charmant en bord de mer, les
villageois s’affairaient à diverses activités et le rire était au rendez vous.
La nouvelle de mon arrivée fit vite le tour de la ville et le chef du village
sniper nommé Shuts me fit venir en sa demeure. Il était assez jeune, une
vingtaine d’année tout au plus, entouré d’une bande d’idiot tel que Lyna ou
encore le boucher du village dont je ne sus jamais le prenom… La discussion fut
longue, Shuts était adorable et ne voyait aucuns problème quand au fait que je
me cache à Hugel, les deux autres eux, ne cessait de sortir des choses comme
« C’est de la folie, connaissez vous le pouvoir de ses parents ? Lord
Balthazar pourrait bien brûler le village tout entier » ou encore
« comme ci les mar heaven ne nous apportaient pas déjà assez de soucis
comme ça. » Finalement ce fut Shuts, en tant que Chef du village qui eu le
dernier mot « Cette charmante demoiselle restera ici.»… Une fois seul
avec lui certaines question me vinrent à l’esprit aussi la discussion continua.

« Je vous remercie de tout cœur pour m’accorder cet
Exile monsieur… C’est bien aimable… »

« Ma chère Yuna, tes manières sont toutes aussi
sympathiques que toi mais pas de ça avec moi, appeles moi Shuts, et je t’en
supplie tutoies moi… »

« Entendus, Shuts… Je me demandais, qui sont ces mar
heaven dont parlé Lyna ? »

« Mar hevean est un clan dirigé par l’assassin cross
avec lequel tu es arrivé Yuna, ici ils sont vus comme des délinquants car il
sont la causes de bon nombre de dispute… Je me suis entendu avec Seifer et il a
insisté pour t’héberger, il habite avec sa guild dans une maison au nord ouest
de la place… Je te laisse le retrouver, à plus tard.»

Le repère des Mar heaven me rappelait ces foyers ou Serenity
et moi avions logées durant notre pèlerinage d’acolyte… C’était une simple
maisonnette en bord de mer, un salon, une cuisine dans laquelle il y avait une
grande table qui prenait toute la place pour pouvoir contenir tous les estomac
affamé des membres du clan, plusieurs petites chambres… Je me souviendrais
toujours du repas qu’on m’avait servit le soir de mon arrivé, de toute
évidence, il manquait une femme dans cette maison… Aussi je savais que je
resterais ici pas mal de temps.

Les Mar heaven furent les plus grands acteurs de mon
changement… Ils étaient considéré comme des délinquant pourtant moi je voyais
en chacun d’eux un cœur bon… Ils étaient tous tellement impressionnant, la plus
pars étaient déjà de classe supérieur et pourtant âgé de seulement deux à cinq
ans de plus que moi… Une routine s’installa pour moi à Hugel, il était hors de
question que je sorte en mission avec mon nouveau Clan aussi je restais à la
maison, je faisais le ménage, j’organisé les pièces et bientôt la grande table
de la cuisine passa dans le salon, je préparé le repas en allant chaque jour au
marché. Cette nouvelle vie plaisait d’autant plus au Mar heaven qu’elle
m’apportait enfin de la tranquillité et des amis… Je n’étais jamais seule dans
mon nouveau chez moi, en effet, Seifer était toujours très anxieux à l’idée que
des gardes puissent arriver aussi a tour de rôle les Mar restaient avec moi. Je
me souviens avoir beaucoup sympathisé avec deux d’entre eux ainsi, il y avait
Chichi un assassin cross comme Seifer, toute foie je crois que sa force et sa
ruse était encore plus impressionnante à mes yeux, sûrement à cause de sa
jeunesse, il y avait aussi Riven, un lord knigt au cœur d’or, je ne pouvais pas
m’ennuyé avec deux garçons aussi drôle, mais surtout…

Il y avait un autre
Lord Knigt ; ah ils étaient de plus en plus répandu à cette époque, mais
lui m’inspiré une impression étrange… Il me parlait peu, mais me souriait
beaucoup, il avait deux dans de plus que moi à savoir dix sept ans… Dès le soir
de mon arrivée j’ai retenue son prénom… Dès le premier soir sa présence m’a dérangé…
Ce n’était ni de la haine et encore moins de l’amour mais j’avais la sale
impression de te connaître, de l’avoir déjà vue… Ce sourire amical, cette
armure brillante, cette présence qu’il dégageait, au à l’époque j’étais assez
sotte pour voir en lui le souvenir d’un amour déchu… Qui aurait pus prédire
qu’à peine un an plus tard ses lèvres s’accommoderaient aux miennes avec un
amour que jamais je n’aurais pus ressentir pour mon tendre Fuuji ;
Soprano, était loin d’être un simple amant, Soprano était l’acteur principal de
ma vie, de mon changement et de ma chute… Je me rappelle, comme souvent il
était de garde à la maison, sa présence me dérangeait de plus en plus tant j’étais
gênée, oh nous parlions beaucoup plus qu’à notre rencontre mais ce n’était pas
suffisant… J’allais vers lui la tête haute, silencieuse attendant des paroles
de sa part, je marchais vers mon calvaire sentimental le plus naturellement
possible… Lui, il me souriait, comme d’habitude et c’est seulement au bout de
plusieurs minutes intenable qu’il s’exprima doucement.

« Yuna, tu veux qu’on sorte dehors, un
peu ? »
Yuna Chan
Yuna Chan
Drop
Drop

Nombre de messages : 30
Age : 31
Localisation : Le cul posé à pront =D
Humeur : Lunatic cuiiiic
Date d'inscription : 05/02/2008

http://x-yuna-ichigo-ichie.skyblog.com

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Yuna Chan Lun 25 Fév - 1:19

[suite]


Le réponse fut immédiate et positive, nous sortîmes tous
deux dehors pour allés se poser près de la mer, c’était une plage minuscule,
dépourvue de population, seul le fracas tranquille des vagues sur le sable d’or
venait briser le silence des lieux… Lui
s’était assis sur la plage, moi je faisais face à la mer les pieds dans l’eau…
J’étais pensive la mer me rappelait mes origines, perdue dans ma rêverie un cri
d’étonnement sortir de ma bouche lorsque je sentit une pair de bras s’enrouler
autour de mes épaules, je ne voyais pas le visage de mon agresseur mais ce
métal froid… Cette armure brillante, Soprano… Soprano venait de me prendre dans
ses bras te mon cœur sembla s’arrêter de battre un cours instant qui me parut
une éternité… Le garçon me retourna alors, rude et tendre à la fois, son visage
dominé le miens, moi je baissais les yeux effrayé et lui il me dit avec son sourire :

« Yuna, promet moi de ne jamais quitté Hugel, Yuna,
promet moi de toujours resté auprès de nous, de moi… Yunie promet moi que je ne
perdrais jamais de vue celle que j’aime. »

Il eut un couinement qui s’échappa de gorge tant la
déclaration était rapide et imprévisible c’est à ce moment là que je compris ce
qui se passait… Soprano n’était pas Fuuji et mes sentiment envers lui était
encore plus fort car je le désirait depuis notre rencontre, car il ne pouvait
pas en être autrement, car le moment où ses lèvres entrèrent en contact avec
les miennes était prévue depuis longtemps, car Soprano faisait partit de moi… C’était
écrit, dans nos coeur.

Je venais d’avoir seize ans et ma vie semblait être un
paradis, mon cœur brûlé d’un amour nouveau, mes chairs jouissaient d’un amant,
j’avais des amis, j’avais un foyer, et pourtant je mon malaise croissait de
plus en plus dans mon esprit et je compris bien vite que les choses allées
bientôt changer.

A peine trois semaines plus tard je fus victime d’une atroce
trahison, Lyna, l’adjointe de Shuts envoya Tack vers Amatsu ma ville natale, je
n’en savais rien, à vraie dire personne n’était au courant. Je me souviens d’un
bateau aux voiles noires venu du sud, ce jour là j’étais seule avec Soprano… Mon
cœur fut prit de panique à la vue de celui ci au loin, ce vaisseau était l’un
des navires personnel de mon père… Il
fallait faire quelque chose… Fuir ? Ils nous auraient rattraper en moins
de temps qu’il n’en faut pour le dire, non il fallait prévenir Seifer et
vite ! Par chance ce jour là il n’était pas loin, je partit en courant
dans le village avant d’arriver devant Auron un ami à moi, ma requête fut
simple « Trouve Seifer le plus vite possible, et dis lui que mon père est
ici… », la grimace qu’avez eu Auron à ce moment là m’avait donné des
frissons dans le dos, l’arrivé de Balthazar au village était vraiment une
mauvaise nouvelle… Derrière moi Soprano avait le visage le plus inquiété que je
n’avais jamais vue…

« Yuna, prépares tes affaires au cas ou nous devrions
fuir, s’il te plait… »

Mes seuls bagages étaient le ruban rouge de ma mère et mon
équipement… Le reste était sans importance et puis les à cette heure si des
gardes devait déjà être chez nous, pourquoi pas mon père... En premier lieu
nous somme resté sur la plage ou Soprano m’avait prit dans ses bras pour la
première foi, de là on voyait le grand bateau de mon père au port… Seifer ne
revenait pas… Finalement, nous allions à la place centrale Et je sentais en moi
monté une atroce pression. Arrivais à notre point de chute je ne pus m’empêcher
de me figer à la vu des cheveux de feu de mon peur et j’eu l’impression de
recevoir un coup de poignard dans le dos en apercevant à ses côté Lyna, j’était
trahis, par les miens… Shuts aussi était là, en retrait incapable d’expliquer
la situation, il y avait Bozaku mon sois disant Fiancé et l’héritier de mon
père et puis… Ma main dans celle de Soprano nous fîmes face au géant qui était
devant nous tandis qu’il s’approchait de moi me mettant la plus belle claque du
monde, je ne dis rien, j’avais mal, mais pas assez mal pour oublier ma rage
aussi à ce moment là mon amant fit face à mon père.

« Qui es tu pour te mettre entre un père et son
enfant ? »

« Son amant monsieur, je suis enchanté. »

Il y eut un rire fou dans la gorge de mon père, il
s’approcha d’avantage de Soprano avec un sourire immonde et s’exclama.

« Ma fille ne vous a-t-elle jamais dis ce qui arrivait
aux hommes qui osait la toucher sans ma bénédiction ? Est elle toujours
aussi hypocrite ? ». Mon cœur fit un bond dans ma poitrine après ces
paroles, je vit ma mère arrivé derrière mon géant de père, sa beauté était
toujours aussi considérable et son visage reflété le vide et la détresse…

« Votre fille m’a compté toute les horreurs qu’elle a
subite depuis son enfance… Aussi je ne vous laisserai pas la reprendre. »

« Ma fille n’appartiens qu’à moi et à son futur mari
qui est ici présent et qui l’attend depuis sa fuite… »

« Faisons un marché monsieur »

Je sentis à ce moment là la même détresse que ma mère
bouillir au fond de mon cœur, je connaissais trop bien mon aimé pour ne pas
anticipé ses paroles aussi je lui attrapa la mains avant de m’exclamer.

« Soprano ne fais pas ça, tu ne sais pas de quoi
il… » Il ne me laissa pas finir ma phrase lâcha ma main et s’approcha de
mon père.

« Un combat a mort… Si je meurs plus rien ne retiendra
votre fille ici or si je vis laissé je demande à son fiancé qui prendra votre
suite de nous accordé une semaine d’avance pour notre fuite… »

Le même rire immonde sortit de la gorge de mon père, il
était sûre de lui, et il avait raison, jamais mon père n’avait perdu un combat
de puis bien longtemps…

« Soit, que ton serve de trophée à cette ville.

Je me tus, il n’y avait rien à dire… Je croyais en mon homme
mais la perspective qu’il batte mon père était tellement minime… Je m’étais
reculé pour laissé de la place au combattant, les yeux rivé sur Soprano… Je
sentis la main de ma mère se poser sur mon bras, je n’avais pas vus son visage
mais je savais que c’était elle, sa présence m’était trop familière… Doucement
elle me berça entre ses bras, son cœur était aussi affolé que le miens, avait
elle peur de perdre Balthazar ?


Le combat commença, le premier coup fut porté par Balthazar,
le fer cogna, les étincelles volèrent de toute part, et le bruit de la chair
que l’on transperce se fit entendre. Je n’avais jamais vraiment vus Soprano se
battre, il était si jeune et si impressionnant… Aujourd’hui encore je ne
pourrais pas dire qui avait l’avantage lors de ce combat, les deux LK avaient
l’air aussi habille l’un que l’autre… Balthazar était plus vicieux et portait
des coups bas, mon homme lui en profité pour assaillir sa poitrine si bien
protégé. J’étais toujours serré contre la poitrine de ma mère au bout de dix
minutes de combat et je crus que mon cœur allé s’arrêter à la quinzième, le
coup fut fatal et les deux hommes tombèrent à terre dans un bruit de métal
sourd… Je courus vers Soprano, il était blessé mais vivait encore… Lyna elle
eut un regard décomposé à la vie du corps inerte de balthazar, il avait une
planté dans son ventre, le coup avait
était si violent que son armure fut défoncée… Balthazar était mort, et Soprano
lui tait mourrant. Je me servis de mes pouvoirs de Priest, l’un d’eux
s’appelait résurrection et redonné aux personne mourante de leur vitalité en
puisant dans la mienne… Ses blessures se refermèrent vite mais il avait besoin
de temps pour ce reposer, hors du temps, nous n’en avions pas. Mes genoux près
du corps de mon aimé je fis face à Bozaku qui était debout près de moi et
s’exclama.

« Un marché est un marché Yuna, vous avez une semaine
pour prendre de l’avance mais ne va pas croire que je renonce à toi, tu es ma
futur épouse, celle qui dirigera Amatsu à mes cotés… Et ton ami est un assassin
qui devra payer le prix de son crime…Embrasse ta mère, et va t’en. »

Je déposais sur la joue de ma mère un tendre baisé et
m’excusa de lui avoir retiré son mari, à mon grand étonnement la seule réponse
qu’elle me donna était « Est-ce que Seifer est toujours ici ? »
Je lui affirmais que oui et qu’il arriverait sous peu aussi j’en profitais pour
demandé à ma mère de lui présenter mes ma gratitude pour le foyer qu’il m’avait
offert… Sur cette courte déclaration je pris mes affaire et issa Soprano
toujours inconscient sur sa monture que
je tenais par la bride… Je ne me suis pas retourné, et nous sommes partit… Je disais
sans doute adieu à mes amis et adieu à mon pays.





Soprano reprit vite des forces grâce à mes soins que j’avais amélioré en m’arrêtant dans une large clairière non loin d’Hugel… Nous pûmes monter à deux sur son Peco Peco et notre fuite commença alors… Nous ne savions pas où aller, les îles du côté de la mer étaient trop proches d’Amatsu, et beaucoup de ville était bien trop risqué. Finalement il fut décidé que l’on rejoindrait Lightalzen, notre décision aurait pus nous être mortel car cette ville est l’une des plu glorieuse de Midgard, seulement il est connus qu’une cité de bidonville se dresse là bas, taudis de misère… Qui viendrais cherché la célèbre Yuna dans un tel lieu, personne… Grâce à notre semaine d’avance nous rejoignîmes Lightalzen sans problèmes, les gardes ne paraissaient même pas au courant de nos identités… Se trouvais une place dans le bidon ville non plus ne fut pas un problème, là bas personne n’est très curieux car chacun possède un passé peu glorieux aussi nos identité restèrent caché… Grâce à une cape de voyage j’arrivais à garder toujours caché au cas où le tatouage qui ornait mon épaule mais plus d’une fois je fut agressé là bas à cause de ma jolie frimousse ; Aussi je ne sortais plus sans Soprano et cette vie devenait facilement éprouvante bien que nécessaire.



Je crois avoir passé deux mois à Lightalzen, deux mois dans la misère mais deux moi avec lui, je me souviendrais toujours le jour de notre mariage… Nous étions que tout le deux, le prêtre et deux témoins Zakar et Tsuki avec qui nous nous entamions une amitié frêle. Je n’avais que seize ans en effet mais la crainte justifié d’être séparée de mon lui me terrifié horriblement, aussi son anneau contre mon doigts me donné la garantie d’être à jamais lié avec cet homme.



Un mois après notre mariage, le destin joua encore contre nous… Je finissais vraiment par croire que ce tatouage était une malédiction et que Soprano en subissait les conséquences… Un matin il était partit en course du côté riche de la ville comme souvent, moi je l’attendais à la maison tranquillement préparant le déjeuner à la manière de la bonne épouse que j’étais quand soudain j’entendis des pas affolé courir vers la maison, c’était Zakar qui défonça la porte d’un geste de violent, la respiration haletante pour me dire.

« C’est ton fiancé, il a envoyé des gardes dans tout Midgard… Il on eu Soprano, il veut que tu t’en aille, Yuna tu dois fuir je t’en supplie, change de visage et fuis dépêche toi… »

Oh je ne voulus pas partir non, j’aurais était folle d’abandonner Soprano seulement Zakar m’y força pendant que Tsuki et les autres retenaient les gardes qui voulait entrer dans les bidon ville… Je suis partie seule, sans savoir où aller… J’étais devenue brune et le tatouage sur mon épaule avait était caché par l’un des sorts de Zakar… Je sortis sans encombre de la ville, personne ne me reconnut car mes yeux vairons aussi étaient devenus tout bleus… Je crois que j’avais perdu beaucoup de charme ce jour là et pourtant les choses allées me prouver que j’étais toujours la belle jeune femme qui attiré tant d’yeux mal vaillant.



Ainsi je suis devenue ce que je suis aujourd’hui… Ca fait deux ans maintenant, voilà que j’ai dix huit ans, je suis devenue grande prêtresse, j’habite à Prontera sous le nom inventé de Juliette. Je ne suis plus la glorieuse et bonne Yuna, non je ne suis plus rien qu’une simple d’âme de compagnie, une prostituée… « Tu finiras seule, définitivement seule… Tu as tout pour toi sauf un cœur Juliette » Voilà le discours de ces riches clients qui ont tendance à s’accrocher à moi… Je n’ai jamais oublié ma vie d’avant, je n’ai jamais oublié ni Soprano ni ma mère et pourtant malgré ce manque j’arrive à m’accommoder de cette nouvelle vie ou la loi du plus fort subsiste toujours… Mais ici la plus forte c’est une femme qui sait usé de tous ses charmes… J’ai de nouveaux amis, un nouveau clan s’appelant Deep Simple et je séjourne chez Luffy un sniper tandis que les gens dehors nous appelle allé savoir pourquoi « Roméo et Juliette »…



To be continued
Yuna Chan
Yuna Chan
Drop
Drop

Nombre de messages : 30
Age : 31
Localisation : Le cul posé à pront =D
Humeur : Lunatic cuiiiic
Date d'inscription : 05/02/2008

http://x-yuna-ichigo-ichie.skyblog.com

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Aryacool Ven 29 Fév - 19:36

c'est un roman! xD
j'ai meme pas eu le temps de tout lire o.o

Aryacool
~Guild Master~
~Guild Master~

Nombre de messages : 69
Age : 32
Date d'inscription : 05/02/2008

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Shaoran Jeu 6 Mar - 13:17

j'ai lu cette fanfic sans une fois détourné les yeux du texte que tu as écrit ... c'est juste magnifique ^^

Shaoran
Poring
Poring

Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 06/03/2008

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Yuna Chan Lun 10 Mar - 18:05

merciii =x
Le chapitre deux arrive sous peu, bon peu de personne le lira mais bon moi j'aime écrir stou' xd <333
Il est (un peu) moins long que le premier d'ailleur xd
Yuna Chan
Yuna Chan
Drop
Drop

Nombre de messages : 30
Age : 31
Localisation : Le cul posé à pront =D
Humeur : Lunatic cuiiiic
Date d'inscription : 05/02/2008

http://x-yuna-ichigo-ichie.skyblog.com

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Yuna Chan Lun 10 Mar - 23:49

Voilà j'ai finis le Chap deux today ( pardon pour le Flood )
=) j'espère que ça vous plaira moi j'ai aimé l'écrire parlé de la guild et tout ça ( en insistant sur luffy je sais j'y peux rien il est devenu un ami cher pour moi et un confident ;___; Roméo jtm beaucoup <3 ), et j'espère écrire rapidement le Chap =) <3



Chapitre 2 : Juliette

Ca fait deux ans que mon père est mort, vingt deux mois que
j’habite cette ville, dix huit ans que m’a mère ma mise au monde et deux ans
que je n’ai plus aucune d’elle… Pas un jour n’a passé sans que je pense à elle,
au mal que je lui ai fait, à l’être que je lui ai enlevé… J’aurais voulut
oublier mon passé, je ne peux pas… Je n’ai plus versé une seule larme depuis
qu’ils ont emmené Soprano et je refuse tout souvenir de lui, j’ai beau souvent
pensé à mon passé je ne veux pas me souvenir de lui, c’est trop douloureux…
Alors je me change les idées, plongé dans le sexe et l’alcool, je ne suis plus
qu’un reflet de moi-même, je suis Juliette et Yuna est morte, personne ne sait
qui je suis en réalité mise à part Luffy qui au fil des jours est devenue bien
plus qu’un ami, un confident. Les notions de plaisir d’en temps, les rires
enfantins et innocent n’existe plus, les rires amères et pervers m’entoures… Je
suis de ces femme qui arrive à voir le noire au fond de chaque être, avant je
ne voyais que le bien. Je suis de ces femmes qui réveillent volontairement les
pulsions des hommes… Je ne suis qu’une ombre seule à qui on enlevé toutes
traces de bonheur… Je continu de sourire, mes sentiments n’ont plus
d’importance, parfois j’aurais aimé mourir, mais j’ai préféré continué a me
mentir et a faire comme ci rien ne c’était jamais passé… Je suis vide, je ne
suis rien.

Une routine c’est installé dans ma vie, c’est un peu comme
ci je ne voyais jamais le soleil, chaque jour je me lève un peu avant le crépuscule,
je me prépare, je mange très peu, je parle avec mon colocataire puis je sors
quand la lune a fait place au soleil… Je déambule toujours sur le même chemin
avant d’arriver sur la place central. Là bas je discute quelque temps avec les
membres de mon clan les Deep simple, le plus souvent avec Ayane une jeune sage
ou encore Arcance un jolie priest… Ces
personne là, comme mon chef de clan Sunny ne savent pratiquement rien de moi
comme je ne sais rien d’eux et pourtant j’y suis particulièrement attaché… Ils
ne savent tellement rien qu’ils ignorent même mes activités de la soirée, mon
gagne pain… Je ne sais pas comment ils réagiraient si ils savaient que je
n’étais qu’une escorte girl pour homme riche… Chaque nuit c’était la même
histoire, on me payé le restaurant, on m’invité à boire un dernier coup, on
couché avec moi et on me payé très bien car je savais satisfaire les hommes,
car je les connaissais mieux que personne. Je ne reste jamais longtemps temps,
ces hommes s’endorment comme des porcs, et moi je retourne en ville pour finir
ce qui reste de ma journée lunaire, souvent je vais boire un coup avec des
amis… Je rentre chez moi, l’aube se lèvera bientôt… La plus part du temps je
rejoint la chambre que Luffy m’a gracieusement offerte… Dans le cas contraire
je vais passé la nuit avec mon colocataire, et parfois mon amant.

La banalité des jours est sans importance… Jusqu’à présent
ce nouveau train de vie me convient, mais voilà arrive des jours dangereux où
tout est remit en question, après deux ans de calme et de mensonge ma propre
malédiction est revenue me hanter… Nous sommes mardi soir et je sors comme à
mon habitude, j’ai revêtu ma tenue d’high priest car les hommes l’apprécie, et
je me suis dirigé vers la place central où j’ai coutume de passé le début de la
nuit avec mon clan, les rires font des va en viens et peu à peu ces personnes
sages rentrent chez elles, moi je me dirige dans un petit bâtiment au nord de
Prontera, histoire de savoir qui je devrais satisfaire cette nuit là… Cette
nuit là ma vie a faillit basculer vers les ténèbres, j’ai eu si peur… La pleine
lune était à son comble, et doucement je me dirigeais vers cette maison, ce
bordel ni plus ni moins… Mon patron était devant la porte, accompagné d’un
jeune Stalker qui se donné l’air important, je ne l’ai pas reconnut de suite
car je ne voyais pas son visage mais c’était Bozaku… Mon fiancé, mais quel
fiancé ? Il aurait fallut que je me
cache, c’était déjà trop tard, mon patron s’approchait de moi, son sourire
vicieux au lèvres et voilà qu’il s’exclama.





« Juliette, ma magnifique petite Juliette, venais donc
que je vous présente qui viens loué vos service ce soir, c’est mon seigneur
Bozaku, qui siège au sommet d’Amatsu… Soit fière quand il a vu la photo de
toute nos jeune fille, il t’a choisit toi sans aucune hésitation… »

C’est si drôle, de voir à quel point cet idiot de Bozaku
pouvait être comme tous les autres, il avait du charme et pourtant ne cherchais
que la simplicité et les faveurs d’une femme, l’argent réglait tout ses
problème… Cette homme, était l’héritier de Balthazar, il était d’ailleurs une
copie de mon père sous toutes ses coutures… Ah et qu’en il prit la paroles… Sa
voit familière me rappela à ma vie passé, cette sensation… Dire qu’à cause de
lui l’homme de ma vie est mort. Dire qu’à cause de lui, je ne suis plus rien
qu’une catin.

« Juliette… Vous êtes ravissante, je ne doute pas un
instant que mon choix fut le plus judicieux… »

Un sentiment de colère c’était enflammé dans mon cœur, que
faire ? M’abandonner au bras d’un tel homme et empoché une belle somme
d’argent, et puis quoi encore ? Je n’avais plus aucun honneur mais ma
fierté ne pouvait être salie ainsi… Il fallait que j’arrive à m’échapper, mais
comment ? Doucement je me suis incliné et mon visage croisa celui de Bozaku
sans ciller… Quelque chose cloché, il ne me reconnaissait pas, et pourtant
j’étais persuadait qu’il se passé quelque chose d’étrange dans cet échange de
sourire…

« Je ne peux pas… Acceptez s’il vous plait toutes mes
plus humble excuse monsieur, mais je n’ai pas un mérite assez suffisant pour
vous satisfaire… Apprenait, monsieur que ma réputation en tant qu’hôte est la
plus minable de toute car même si j’arrive à satisfaire les plaisirs charnels
de cet messieurs, leur cœur reste aussi triste et froid si ce n’est plus
qu’avant mon arrivé. »

Il me coupa, autoritaire, il n’y avait aucun doute, cet
homme, était la réincarnation de mon père… « Mon cœur n’a en aucun cas
besoin de soin. » Il me sourit d’une manière des plus perverse et attrapa
ma main. « Allons y ».

Je n’eu le temps de rien dire, il m’avait déjà emporté par
de là les rue, sa poigne était ferme et moi, mes jambes tremblé, j’avais peur,
si peur, non pas d’un homme… Peur du passé, peur de ne plus jamais pouvoir me
mentir. Nous arrivâmes sur la place centrale, il ne disait rien, et moi je ne
voulais pas aller plus loin avec lui. D’un geste violent ma mon poignet se
détacha de l’emprise du brun et ma voit s’exclama autoritaire.

« ARRETEZ ! Je vous ai dit que je ne pouvais
pas. »

« Cet absence de réponse concrète prouve le
contraire… »

« Je… Je ne peux pas ! »

Mon cœur se serra car l’homme se mit à hurler, il s’approcha
dangereusement devant moi, la place était peuplée d’inconnue… « Tu ne peux
pas, est tu en train de me dire que tu as oublié ton métier, ma pauvre enfant
tu n’es qu’une machine à coucher tu n’as rien à oublier ! »

Tout devint flou, je me souviens que l’homme me plaqua
contre le mur le plus près et tenta de se saisir de mes lèvres tandis que je me
débattais.

« ARR… »

« NE LA TOUCHEZ PLUS » La voix de Luffy retentit,
qu’elle chance qu’il soit arrivé attend… Je me souviens que mes yeux croisèrent
un instant ceux de Bozaku, je crois… Je crois qu’il avait comprit, du moins il
avait comprit que cette détresse lui était familière, c’était cette même
expression qui avait secouée mon ancien visage quand Balthazar fut tué… Luffy
s’avança et me prit dans ses bras tandis que la voie de Bozaku s’exclama.

« Qui es tu pour déranger le client de cette
dame. »

« Son fiancé, Juliette et moi allons nous marié, et
elle pensé porté sa démission à son patron puis ne plus jamais revenir. »

Le visage de mon agresseur se prit une grimace étrange puis
il lâcha dégoûté avant de partir d’un pas nonchalant « Tous mes vœux de
bonheurs… ».

La présence de Luffy était rassurante, il m’avait sauvé, il
avait sauvé ma fierté, et mon présent… Je restais niché au creux de son coup
quelques minutes avant de lui chuchoté une petit « merci… ». Puis, je
me redressais pour lui faire face en poussant un large soupir… Je lui lançais
avec soulagement un petit soupir avant de constater avec horreur que Spike, un
hunter de ma guild se trouvait près de nous… Il avait tout vu, et son visage
montrait dnon pas de la prosternation mais de la tristesse… Sans un mot il se
retourna et nous laissa seul sûre la place. Lentement, Luffy et moi nous
rentions à la maison… Le souffle court, sans un mot… Les choses étaient trop
graves.

Assis dans la cuisine il pris finalement la parole pour me
dire…

« Qu’est ce que tu vas faire maintenant ? »

« A moins de t’épouser je n’ai plus qu’à quitter les
lieux… »

« Tu es déjà mar… »

« Je suis veuve… De plus Yuna n’a rien à voir avec
Juliette »

« Alors épouse moi… »

« Arrête, je ne serais q’un boulet de plus. »

« Tu serais plus un boulet pour moi si tu t’en allé, j’aurai
peur de perdre une amie telle que toi Ju… »

« Mais Spike… »

« Spike ne dira rien, tu le connais ce n’est pas une
cafteuse… »

« Ils vont me haïr si ils savent quel est ma
profession… »

« Quand bien même il le saurait, Juliette resterait
Juliette… Va dormir, le jour va bientôt se lever. »

« Oui… »

Mais le sommeille ne vint pas… Revoir Bozaku, était pour moi
un supplice, il y avait tant de question que j’aurais voulut lui poser,
« Que devient ma mère… »… « Qu’a tu fais de mon mari »… Je
sortit du lit, et me dirigea vers le tiroir d’une commode, elle était vidée à
l’exception d’un petit anneau d’or qui scintillait au bout d’une chaîne
cuivrée… Je pris l’objet du bout de doigt avant de retourner m’asseoir sur mon
lit...

Je suis resté là plusieurs minutes à fixer cet anneau dans
mes mains tremblantes quand tout a coup on toqua à la porte, j’ai jeté l’anneau
sous la couette de mon lit quand Spike entra timidement…

« Spike… »

« J’avais peur que tu ne dormes déjà, le soleil est
bientôt levé… »

« Tu ne me déranges pas. »


Dernière édition par Yuna Chan le Lun 10 Mar - 23:52, édité 1 fois
Yuna Chan
Yuna Chan
Drop
Drop

Nombre de messages : 30
Age : 31
Localisation : Le cul posé à pront =D
Humeur : Lunatic cuiiiic
Date d'inscription : 05/02/2008

http://x-yuna-ichigo-ichie.skyblog.com

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Yuna Chan Lun 10 Mar - 23:50

(suite )



Il vint s’asseoir près de moi sur le lit, j’allais
m’exclamer quand il sentit sous lui le poids de l’anneau qu’il sortit de la
couverture en l’analysant quelque instant… Il fit attention à tort aux
inscriptions gravées en son intérieure, il les lit à haute voix et mon cœur fit
un bon dans ma poitrine « Soprano et Yuna »... « Yuna… Je
connais… »

« Yuna est le nom de ma mère, c’est le seule souvenir
qu’il me reste d’elle. Soprano était son époux »

« Oh, ta mère… Ce n’est pas la même Yuna alors… Ce
prénom fut célèbre fut un temps. »

« Je sais bien, mais cette Yuna là est bien trop jeune
pour être ma mère. »

« En effet… »

« Spike…Pardon. »

« Pardon ? »

« Tu as dû être choqué en apprenant que… »

« Un peu, mais c’est ton choix et puis tu vas épousé Luffy,
je suis content, ne t’inquiet pas ton secret rester entre nous. »

« Je te remercie. »

« Ne me remercie pas, je te laisse dormir maintenant,
je voulais juste te dire de ne pas t’en faire… Bonne nuit. » Il
laissa l’anneau sur ma table de chevet puis sortie de la pièce.

Les jours suivant sont passés bien lentement… J’avais
tellement peur que quelqu’un de mon clan découvre l’incident… Je n’allais plus
à mon travaille, pour moi cette événement avait servi de lettre de démission,
et mon cœur se serré à chaque fois que je croisais un ancien clients dans les
rues… Je sortais toujours de nuits, bien sûre… Ce n’était pas vraiment se
travaille qui me donné la contrainte de vivre sous la lune, seulement cette
sphère brûlante que j’avais tellement côtoyé par le passé me semblait bien trop
lumineuse pour celle que j’étais... Sûrement trop noble pour moi. Vers dix huit
heures, le ciel était déjà noir car l’hiver se faisait sentir à cette époque de
l’année, et dès cette heure je rejoignais ma guild avec Luffy en évitant d’un
accord commun les longues discutions avec
Spike… C’était, gênant. Les soirées étaient bien plus calmes, mais je ne
m’ennuyais pas, j’avais simplement l’impression de retourner peu à peu dans le
passé, et je ne saurais jamais vous dire si ces moments là étaient agréables
pour moi. La prospérité dura quelque semaine, je dirais un mois et demi tout au
plus, jusqu’à cette nuit de pleine lune dépourvue d’étoile. Je me souviens, il
devait être vingt heures et je me baladais seule dans les ruelle de Prontera
quand le visage essoufflé de Ayane une jeune sage de mon clan arriva face à
moi, avec précipitation elle finit par me dire :

« Juliette, il y a un assassin cross au centre, il dit
te chercher, et s’appelle Seifer. Il a parlé de ta mère, apparemment elle
serait gravement malade ou je ne sais trop quoi, viens vite.»

Je fut naïve, tout simplement naïve, les paroles d’Ayane su
la situation de ma mère m’avait totalement fait oublié ce détails essentiel « jamais
Seifer n’aurait pus connaître mon nom d’emprunt ». Je courus, à toute
vitesse, sans même attendre Ayane, je courus rejoindre la place… Arrivé au
centre de la ville je me mit à cherché Seifer, et je fut prise de stupéfaction
en trouvant face à moi Icewolf, le père de ma mère, et le grand chef de Rachel…
Un homme terrible, peut être encore plus terrible que mon propre géniteur… Il
me sourit, moi je restais sans comprendre en prononçant les mots suivants.

« Grand père ? »

Je revins bien vite à mes esprits, Icewolf venait de me
donner un coup si violent au visage que j’en étais tombé à terre… Ma lèvre
saignait et lui criait.

« Tu devrais avoir honte, espèce de petite putain, tu
devrais avoir honte d’oubliais de qui tu es la petite fille, tu salis ton sang,
tu nous salis tous Yuna. »

Mon corps se mit à frémir à l’entente de son prénom maudit,
je crois que je ne fus pas la seule dans ce cas car autour de nous toute la
ville se rassemblait, ma guild elle était aux premiers loges. Je n’eu pas le
temps de me relevé que mon grand père avait saisit mon poigné avec violence
pour soutenir mon buste en l’air en criant toujours.

« Regarde toi, mais regarde toi, tu n’es plus rien, tu
n’es même pas capable de te relevé, regarde tes yeux, regarde tes cheveux,
regarde ton nom d’emprunt et regarde se métier que tu pratiques, je ne pensais
pas avoir connus pire ingrate que ta mère mais qu’ai-je fais pour mériter une
telle descendance tu peux me le dire Yuna ? Tu t’es enfuis deux fois, tu
as humilier ton fiancé, tu as poussé ton amant à assassiné ton père, tu tes
adonné à la prostitution pour gagné ta vie, et tu vie avec un sniper de second
rang que tu comptes épouser… REGARDE TOI ! Là, aux sol, comme une
pauvre chose, mais comment une aussi faible chose a pus me causer tant de
soucis ?! »

Il eut ensuit un bruit sourd, mon grand père lâcha mon
poigné avec hâte et un Cruisader me séparé de lui, c’était Sunny, mon chef de
Guild, et en me relevant je l’entendis s’exclamer au père de ma mère.

« Peu importe votre importance monsieur, ici nous ne
toléreront pas que vous portiez la main sur l’un des notre, encore moins sur
une jeune fille tel que Juliette… »

« Juliette… Est
il possible que même son chef de Guild ignore qu’elle n’est autre que Yuna,
fille de Ceress et Balthazar ancien dirigeant d’Amatsu, descendante de Zaza et
Icewolf chef de la grande Rachel, ainsi que fiancée de l’humble Bozaku nouveau
chef de Amatsu et l’homme qui à conquis la cité de Louyang… Qu’elle hypocrite,
et vicieuse femme n’est ce pas. »

« Ca n’a pas d’importance, j’arrive très bien à
imaginer pourquoi Juliette vous a reniez. »

« Arrêtez » Ma voix vint cassé le duel de parole
des deux hommes, « Sunny ce n’est pas à toi de me défendre, mais à moi
seule… Et je n’ai qu’une seule chose à dire mon cher grand père, c’est que vous
me dégoûté, vous parlez d’honneur et de franchise, mais vous n’avez pas hésité
à vous servir de ma mère pour m’avoir, je n’ai qu’une honte c’est de m’être
laissé prendre avec un piège aussi grotesque… Alors soyez franc maintenant
et dites moi ce que vous avez fais de ma mère, et de Soprano.» J’avais été
tenté d’ajouté que Soprano était mon époux, seulement si cela n’avait pas déjà
était fait il l’aurait tué pour que je puisse épousé Bozaku sans porté offense
à l’église…

« Ceress… Ceress… Ah ma chère fille, si seulement je
savais où elle était partit ça ferait longtemps que je le lui aurais fait payé
ses crimes, seulement vois tu, après la mort de ton père j’ai demandé à ma
nouvelle femme Lyna, de la bannir elle, Seifer et leurs larbins d’Hugel… En ce
qui concerne ton ami, il aurait été bien trop doux pour lui de mourir, non j’ai
décidé de le faire médité sur ses crimes, malgré moi je dois vous avouer qu’il
est fort, voilà deux ans qu’il vit dans le même donjon où mon ex femme a
périt… Je n’ai qu’un seul conseil à te donné Yuna, suis moi sans histoire
si tu veux les voir rester en vie, épouse celui qui t’es promis depuis toutes
ses années et donne lui un enfant, comporte toi comme une femme exemplaire et
cesse de salir mon sang.»

Ma voix se figea, je ne savais plus quoi répondre, mon corps
se mit lui aussi à trembler, je ne pleurais pas, d’ailleurs je crois bien que
plus jamais je ne pleurerais, mais mon cœur poussé une plainte terrible …
Icewolf avait visé en plein dans mon point faible, il savait, il savait
parfaitement que Yuna au contraire de Juliette ferai tout pour les gens qu’elle
aimait, quitte à se sacrifier pour les sauvé, et au fond, Juliette, est ce que
cette jeune femme existait vraiment ? J’étais faible, à nouveau, on venait
de brisé ma coquille et je me retrouvé exposé aux agressions les plus
terribles. Mon absence de réponse fut un déclique pour ma Guild, chacun d’eux
se mit près de moi, Luffy, Sunny, Arcance, Ayane, Yureka et les autres, ainsi
que quelque membres d’un Clan allié au notre comme Excessive ou encore Kaito,
même certain civil que je ne connaissais pas s’interposèrent, et surtout,
quelques membre d’un camp ennemi… Le geste me toucha, et ce encore plus quand
Luffy pris la parole.

« Si vous l’emmenez vous devrez affronter les habitants
de Prontera… Personne ne nous prendra ni Juliette, ni Yuna… »

« Son nouvel amant ? »

« Plutôt son meilleur ami… »

« Yuna… Est-ce vraiment la peine de blesser plus de
personnes… Tu sais très bien que ma puissance est supérieure, des troupes sont
avec moi… Veux tu à se point perdre tous tes… Amis, en plus de ton lord knight
à la noix et de ta mère ? Viens sans faire d’histoire, affronte ton
destin et tout le monde aura la vie sauve… C’est ce que tu veux, n’est ce
pas ?»

Mon visage fut pris de détresse, il avait gagné, il le
savait, il était vainqueur et cherché encore à m’humilier… Sans un mot, la tête
basse, honteuse je fis deux pas en avant, jusqu’à sentir la main brûlante de
Luffy me retenir le bras.

« Yuna… Tu ne peux pas ! Tu ne peux pas te laissé
avoir comme ça ! Nous sommes près à nous battre. »

« Tais toi, Luffy… Luffy, ma décision est prise, ne
t’inquiète pas, ma vie à Amatsu est luxueuse… Pourquoi devrais je à ce point
faire des caprices, je préfère vous savoir heureux et en bonne santé. Merci
pour tout, toi tout particulièrement mais aussi les autres… et… Garde ce bijoux
qui m’est si précieux, je te l’offre, prend en soin. »

Je parlais de ma bague de mariage, je ne pouvais de toute
manière pas la reprendre, et je savais que Luffy la garderai en sûreté… Il ne fallait, surtout pas qu’on apprenne mon
union avec Soprano, la chose aurait causé trop de malheur…

Ainsi je suis partit, sans rien ajouter de plus, observée
par le sourire satisfait de mon grand père… Derrière moi j’entendais les
protestations des habitants sans les comprendre… Je crois même que ma petite
Ayane pleurait… Si vous saviez, mes amis, comme je peux m’en vouloir, depuis ce
jour, depuis ce jour je maudits mon existence pour tout le désordre que j’ai
mis dans vos vie. Ainsi nous primes le bateau d’Izlude jusqu’à Amatsu, le
voyage me sembla bien trop court, et le destin tragique qui m’attendais à
l’arrivé devint réel beaucoup trop vite. En effet, à peine cinq jour après mon
arrivé dans se palais que je n’avais pas revu depuis quatre ans le mariage eu
lieu… Tout le monde semblait heureux, moi on m’avait demandé de paraître
souriante et on m’avait forcé à exprimer mon dégoût pour mon ancien
comportement… J’étais devenue la cheffe sans pouvoir d’Amatsu et mon peuple
semblait m’adorer encore plus qu’il avait put aimer ma mère. Mais ma plus
grande crainte resté Bozaku, cet homme qui m’avait tant désiré me fit largement
payer mes fautes, aussi la nuit de noce ressembla plus à un viol qu’autre chose
et sous ma robe de prêtresse se caché de large bleus… Ma plus grande crainte
était d’avoir un enfant de cet homme… Et pourtant je tombais rapidement
enceinte… A partir de ce moment là Bozaku cessa de le battre… Et moi je passais
mes journées enfermée dans ma prison faite d’or. Mon visage était redevenu ce
qu’il était par le passé, bien que je semblais plus pâle et moins vive
qu’avant, j’étais redevenu la jolie blonde aux yeux vairons et les rubans de
satin de ma mère ornaient toujours mes cheveux… Et chaque jour, chaque jour je
pensais à m’échapper de ce lieu sans jamais le pouvoir ayant trop peur de faire
tué mon véritable et tout premier mari ou encore ma mère, alors que mon seul
désir était d’emmener l’enfant que je portais loin, très loin de cette ville,
de son père et de cet famille maudite avant qu’il ne subisse à son tour un destin
tragique… J’avais alors dix neuf ans, et j’étais déjà enceinte de trois mois
quand ma vie d’esclave bascula.

TO BE CONTINUED



J'aime avoir vos avis =) n'hésitez pas je suis ouverte à la critique <3
Yuna Chan
Yuna Chan
Drop
Drop

Nombre de messages : 30
Age : 31
Localisation : Le cul posé à pront =D
Humeur : Lunatic cuiiiic
Date d'inscription : 05/02/2008

http://x-yuna-ichigo-ichie.skyblog.com

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Diablo Mar 11 Mar - 21:46

<3 lol owi <3 xD sa rox mais c quoi sa nous on le pownle grand pere et enleve kaito le noob <3 <3

Diablo
Drop
Drop

Nombre de messages : 26
Age : 34
Localisation : Heu Dans ma seine et marne
Date d'inscription : 05/02/2008

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Ayane Jeu 13 Mar - 18:40

Je vous jure que je mens pas mais j'ai vraiment fallit pleuré >.<
C'est juste trop beau !
Ayane
Ayane
Poporing
Poporing

Nombre de messages : 69
Age : 32
Localisation : Dans les bras de son ange é_è
Date d'inscription : 05/02/2008

http://hey-al.skyrock.com

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Aryacool Ven 28 Mar - 16:06

respect, c'est trop bien
xD

Aryacool
~Guild Master~
~Guild Master~

Nombre de messages : 69
Age : 32
Date d'inscription : 05/02/2008

Revenir en haut Aller en bas

Yuna's Fanfiction =) Empty Re: Yuna's Fanfiction =)

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser